toutes les vidéos . Si Dieu le veut, son œuvre et son chemin ne s'arrêteront pas là, et une vengeance implacable attend les criminels qui ont empli leurs mains de son sang et de celui des autres martyrs »[1],[10].
Aux États-Unis, le Pentagone a confirmé dès jeudi soir avoir tué le général Soleimani sur "ordre du président". La Chine[37],[21], l'Arabie saoudite[38], les Émirats arabes unis[38], la France[39], le Royaume-Uni[21], l'Allemagne[21], le Canada[40], le Japon[41] et l'Union européenne[42] appellent les acteurs impliqués à la retenue et à éviter une escalade.
Tous deux sont tués ainsi que plusieurs autres officiers iraniens et miliciens irakiens.
L'assassinat de Qassem Soleimani, général iranien, a eu lieu le 3 janvier 2020 par l'armée américaine sur l'aéroport international de Bagdad. […] Nous avons pris des mesures […] pour arrêter une guerre, pas pour en déclencher une. Parmi ces dix morts figurent cinq officiers du Corps des Gardiens de la révolution islamique et cinq membres des Hachd al-Chaabi[2]. […] Cependant, l’agression du régime iranien dans la région, y compris le recours à des combattants par procuration pour déstabiliser ses voisins, doit cesser, et elle doit cesser maintenant », « Le martyre est la récompense de son inlassable travail durant toutes ces années […]. Beaucoup de vies auraient été sauvées. Le gouvernement porte également plainte contre les États-Unis auprès de l'ONU pour la violation de sa souveraineté[50]. Mais il semble considérer qu’il est préférable, pour le moment, d’avoir une approche plus diplomatique et moins frontale », Attaque aérienne à l'aéroport de Bagdad en 2020, crise qui oppose les États-Unis et l'Iran, Corps des Gardiens de la révolution islamique, Washington Institute for Near East Policy, Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme, Qassem Soleimani, puissant général iranien, tué en Irak par un tir de drone américain, Iran Threatens Revenge As It Mourns Guards Killed By US, Le plan de Soleimani pour intensifier les attaques contre les forces US en Irak dévoilé par Reuters, Un Américain tué par des roquettes dans l'Irak en crise, Risque d’escalade entre les Etats-Unis et les milices chiites en Irak, Irak : derrière les frappes américaines, l’ombre du conflit avec l’Iran, « Mort à l’Amérique » : des manifestants attaquent l’ambassade américaine à Bagdad après des raids, Après l’attaque de l’ambassade des États-Unis à Bagdad, Donald Trump menace l’Iran, Après la frappe américaine contre le général Soleimani, les craintes d’une plongée dans une nouvelle guerre, Soleimani: Les USA aidés par des informateurs à Bagdad, Les Etats-Unis tuent le puissant général iranien Ghassem Soleimani dans une frappe en Irak, Avec Soleimani, Trump a pris les risques que ses prédécesseurs avaient évités. Le samedi 4 janvier, des milliers de personnes défilent en cortège dans la capitale irakienne autour des cercueils du général iranien Qassem Soleimani et d’al-Mouhandis, scandant « Mort à l’Amérique ! C dans l'air.
L'explosion qui frappe le convoi de Qassem Soleimani. La légalité de cette opération est directement mise en cause, qu’il s’agisse de la conformité aux lois internationales (pas d’accord du pays hôte, pas de légitime défense, pas d’accord de l’ONU, pas d’urgence, attaque ciblée sur un représentant d’un État), mais aussi au fonctionnement interne des États-Unis (pas d’approbation du Congrès, attaque sur un dignitaire officiel d’un État). Alors que les grandes puissances ont appelé au calme et à la retenue, le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, s’est ainsi engagé ce vendredi à "venger" la mort du général Soleimani avant de décréter un deuil national de trois jours dans le pays.
En novembre et décembre 2019, une dizaine d'attaques frappent des cibles américaines[4].
Aujourd'hui à 22h30. Qui était le général Soleimani ? Un responsable local interrogé par l'AFP déclare pour sa part qu’al-Mouhandis « était venu chercher Kassem Soleimani à l’aéroport, ce qui d’habitude n’arrive pas »[14]. Voir aussi C à dire . Car pour beaucoup en ordonnant l’élimination du très puissant et charismatique chef de l’unité d’élite des Gardiens de la Révolution islamique, Donald Trump a franchi le Rubicon dans sa confrontation avec Téhéran.
Il décrète trois jours de deuil national[23]. Elles font un mort et plusieurs blessés dans les rangs de l'armée irakienne et provoquent des dégâts matériels jusqu'aux abords de l'ambassade américaine[4]. En éliminant Soleimani, Trump a-t-il bien calculé son coup?
Beaucoup de vies auraient été sauvées.
Quand en Irak, le Premier ministre démissionnaire Adel Abdel Mahdi a estimé que le raid américain "va déclencher une guerre dévastatrice" dans le pays.
- Reportage #cdanslair 17.10.2020
Téhéran ne va pas laisser tomber du jour au lendemain des décennies de travail minutieux pour tisser sa toile dans le Moyen-Orient arabe.
Téhéran ne va pas laisser tomber du jour au lendemain des décennies de travail minutieux pour tisser sa toile dans le Moyen-Orient arabe.
[…] Soleimani a perpétré des actes de terreur pour déstabiliser le Moyen-Orient depuis vingt ans.
Telle est désormais la crainte des grandes puissances mondiales après la mort du général iranien Qassem Soleimani dans un raid américain mené dans la nuit de jeudi à vendredi 3 janvier en Irak. Sur la base des instructions du président, nous l'avons saisie », « était venu chercher Kassem Soleimani à l’aéroport, ce qui d’habitude n’arrive pas », « Soleimani était très facilement atteignable.
Le chef du mouvement chiite libanais Hezbollah, grand allié de l’Iran, a lui aussi promis ce vendredi "le juste châtiment ‘aux’ assassins criminels" responsables de la mort du général iranien.
Côté républicain, l'influent sénateur Lindsey Graham, proche allié de Donald Trump, a pour sa part menacé l'Iran : "si vous en voulez plus, vous en aurez plus".
Ils ont ainsi pu l’identifier et le frapper en trente secondes. Dans l’absolu, la perte de Soleimani n’a pas changé la donne côté iranien, même si elle a bousculé tout l’appareil militaro-sécuritaire. Comme un parfum de révolution dans l’air 3 janvier 2020 venesolrr Chili , Information , Solidarité , Violences 0 Personne n’aurait imaginé avant l’irruption de la jeunesse dans le métro chilien que cette fin d’année allait dévoiler la carte de la conflictualité que nous voyons. L'attaque est revendiquée par les États-Unis et le Département de la Défense des États-Unis annonce que l'ordre d'éliminer Qassem Soleimani a été donné par le président Donald Trump[1],[15]. L’homme est irremplaçable, mais la mission de la force al-Qods reste la même : préserver les intérêts iraniens et développer son influence dans la région.
Les clés pour comprendre dans sa globalité un événement ou un sujet de première importance, en permettant aux téléspectateurs d'intervenir dans le débat ou de poser des questions par SMS ou Internet... Du lundi au samedi, "C dans l'air" donne les clés pour comprendre dans sa globalité un événement ou un sujet de première importance, en permettant aux téléspectateurs d'intervenir dans le débat ou de poser des questions par SMS ou Internet. L'assassinat de Qassem Soleimani, général iranien, a eu lieu le 3 janvier 2020 par l'armée américaine sur l'aéroport international de Bagdad.Un drone MQ-9 Reaper prend pour cible un convoi où ont pris place Qassem Soleimani et le chef des Kataeb Hezbollah, Abou Mehdi al-Mouhandis, venu l'accueillir.Tous deux sont tués ainsi que plusieurs autres officiers iraniens et miliciens irakiens.