Le quartier présente donc une certaine mixité sociale[10],[1] et d'importantes inégalités en son sein[12]. L'école de chasse s'envolera à partir de 2018, Les avions de l'école de chasse de Tours vont voler davantage en 2018 malgré le départ programmé pour Cognac d'ici 2021, Portail de l'Indre-et-Loire et de la Touraine, Portail de l’architecture et de l’urbanisme, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Sainte-Radegonde-en-Touraine&oldid=169649109, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence.
Chemin de pèlerinage de Saint Martin : via les rues Saint Martin, Saint Gatien et de l'Ermitage. La ville entend en effet développer les Hauts de Sainte-Radegonde aux dépens de terrains agricoles surtout. Moins de cinquante ans plus tard, la population locale a plus que doublé, s'affichant à 7 071 habitants en 2012[10], grâce à la construction de nombreux nouveaux logements sur les vastes terrains vacants.
Dossier complet Commune de Tours (37261) Chiffres détaillés.
Le départ de l'école de chasse en 2021 libérera de plus un espace de 100 hectares à proximité de l'aéroport de Tours-Val de Loire[11]. L'abbaye jouissait d'une prospérité certaine et les religieux possédaient des centaines d'hectares de terrains alentour.
La population de Tours a été estimée à 136 578 habitants en 2007.
La population de Tours était de 132 677 habitants en 1999, 129 509 habitants en 1990, 132 209 habitants en 1982, 140 686 habitants en 1975 et 128 120 habitants en 1968.
De beaux éléments XVIIIe siècle, voire XVIe siècle.
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Sainte-Radegonde-en-Touraine puis Sainte-Radegonde est une ancienne commune d'Indre-et-Loire devenue un quartier de la ville de Tours en 1964.
Sa prolongation jusqu'à l'aéroport de Tours-Val de Loire, ce qui aurait permis de desservir le nord du quartier, a été exclue par la ville étant donné la faible fréquentation de l'aéroport. Combien d'habitants en 2030 à Tours Sur le long terme la population est passée de 128 120 habitants en 1968 à 137 013 habitants en 2020, soit une évolution de 7% sur une période de 52 ans. La structure éducative la plus importante du quartier est de loin l'Institution Marmoutier. En 1965 et 1975, la ville fait construire 1 220 « pavillons Royer » (du nom du maire de Tours Jean Royer) sur le plateau de Montsoudun. L'abbaye de Marmoutier de Tours fut au Moyen Âge un des hauts lieux de pèlerinage français : des reliques de saint Martin y étaient déposées.