Actuialités, analyses et vidéos de El Watan en direct et temps réel Il fait partie des 101 journalistes algériens (et trois journalistes étrangers) assassinés pendant la décennie noire[7]. La page officielle du quotidien algérien El Watan. L'article met en cause des valves défectueuses utilisées lors de l'anesthésie et évoque une connivence entre le directeur de la clinique et la société productrice de ces valves. Ce supplément a été arrêté pour laisser place à un autre supplément intitulé Arts & Lettres.
En 2015, le quotidien a eu une moyenne quotidienne de diffusion à 95 346[25] pour un tirage à 125 000 exemplaires par jour[15]. « C’est comme à l’époque de Saïd et Abdelaziz Bouteflika (l’ex-président déchu et son frère). Souag Abdelouahab (Journaliste depuis août 2002). La suspension la plus importante du journal est celle de septembre 1998 pendant un mois. La diffusion a atteint 129 231 exemplaires (dont 129 022 payés). Sous les chefs d'accusation d'atteinte à la sûreté de l'État, atteinte à corps constitués et atteinte au moral des troupes, ils sont incarcérés durant quatre jours. En 1999, Omar Belhouchet est à nouveau condamné à une amende ferme à la suite d'un article sur la démission du général Betchine et de son témoignage dans une affaire judiciaire dite l'affaire Sider[9]. Édité uniquement sur internet, algerie-eco.com est un journal d’information indépendant. En 2012, El Watan publie un numéro spécial sur le cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie. En avril et en mai 1996, le quotidien est censuré à deux reprises pour avoir rapporté des massacres de citoyens pendant de la décennie noire. Après plusieurs évolutions et actualisations, le journal propose, depuis 2010, une version électronique améliorée qui permet aux personnes inscrites gratuitement de télécharger une version au format pdf de la version papier. Remplissez le formulaire pour vous inscrire, Entrez les détails pour réinitialiser le mot de passe, Crise économique en Algérie : Les mises en garde d’un expert, La justice algérienne va rouvrir le dossier Khalifa, Algérie : La grève des avocats largement suivie au niveau national, Algérie : 20 000 détenteurs de diplômes de magistère et doctorat dans la précarité, Les harraga algériens déferlent sur l’Espagne, Corruption en Algérie : Saïd Bouteflika rattrapé par une nouvelle affaire, Algérie : La FAF contraint les footballeuses à arrêter leur carrière à trente ans, Algérie : Le directeur d’El Watan convoqué par la justice à Annaba, Algérie : La famille de Gaïd Salah dépose plainte contre le journal El Watan, Algérie : Le journal El Watan sanctionné après son article sur les fils de Gaïd Salah. Son directeur, Omar Belhouchet, a reçu plusieurs prix internationaux[3] dont la Plume d'or de la liberté en 1994[3], récompense remise par l'Association mondiale des journaux. El Watan (qui signifie « La patrie ») est un quotidien généraliste algérien en langue française. 272K likes. La bataille judiciaire[évasif] se termine le 15 octobre 2002 lorsque la Cour suprême algérienne confirme la relaxe de l'ensemble des prévenus[6]. Selon le quotidien national, les deux fils de l’ex-chef d’état-major sont frappés d’interdiction de sortie du territoire algérien (ISTN) et font l’objet d’une « enquête judiciaire ». Ce supplément gratuit de seize pages est vendu en accompagnement avec l'édition du jeudi du quotidien. El Watan est 1er au niveau de la presse francophone[19]. Il permet aussi de débattre en laissant des commentaires sous chaque article et qui sont modérés avant publication.
À ce titre, il accorde une interview à Jean Kersco, ancien appelé officier des Affaires algériennes. L'un des journaux les plus influents en Algérie ,il jouit d'une bonne notoriété auprès des lecteurs en raison de son professionnalisme dans le traitement de l'information ,considéré aussi comme le journal préféré de l’élite algérienne . Hors-série publiés à partir du 5 juillet 2012 consacré au cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie sur cinq jours soit cinq suppléments consacrés à l'histoire de la guerre de libération et l'après indépendance. Aux côtés des quotidiens Le Soir d'Algérie, La Tribune et Le Matin, El Watan reçoit un ultimatum de quarante-huit heures pour régler toutes ses créances auprès des imprimeries de l'État. Lundi, El Watan avait consacré sa une à un article sur les investissements des enfants de Gaïd Salah qui auraient « amassé une fortune colossale ». El Watan est considéré comme le journal de référence en Algérie[2].
Ce sont des pressions et des chantages intolérables », a-t-il dénoncé. Actuellement, selon El Watan, sa rédaction est composée d’une centaine de journalistes professionnels[15].
El Watan est un quotidien généraliste , edité en langue Française ,fondé le 08 octobre 1990. Le quotidien national El Watan a été privé de publicité publique après un article sur la fortune des enfants du défunt chef d’état-major de l’armée, Ahmed Gaïd Salah. Le 25 février 1995, El Watan publie une enquête sur l'importation de scanners qui révèle une affaire de corruption et de dilapidation de deniers publics. Depuis l'apparition de la pandémie de coronavirus, lâéconomie algérienne fait face à une récession dâune ampleur historique. Encouragés par le succès de cette première expérience, El Watan et El Khabar ont créé deux autres sociétés d'impression: la SIMPREC[17] à Constantine (mise en service fin 2007) et l'ENIMPOR[18] à Oran (mai 2008). selon les recommandations des projets correspondants. Le 20 juillet 2002[10], le correspondant d'El Watan à Tébessa, Abdelhaï Beliardouh, est enlevé par le président de la Chambre de commerce et d'industrie des Nememchas, Saâd Garboussi, et trois autres complices.
Le 2 janvier 1993[5], El Watan est suspendu pour une durée de quinze jours en raison de son article en une sur l'attentat contre la caserne de Ksar El Hirane (wilaya de Laghouat) ayant coûté la vie à cinq gendarmes.