Chaque membre de l'équipage, équipé de son parachute, accroche à son équipement une ligne qui coulisse sur la perche terminée par un mousqueton avant de sauter dans le vide. le président veut renouer avec le succès du programme Apollo, en fixant des objectifs ambitieux à long terme et en engageant immédiatement les moyens de les atteindre. Bruitages science fiction - transports (139 bruitages) Tous les bruitages de transports futuristes sont regroupés sur cette page. La navette, qui se déplace à plus de 7 km/s, est, durant la rentrée atmosphérique, ralentie progressivement par les couches de plus en plus denses de l'atmosphère qu'elle traverse. Ainsi, au cours de la mission STS-49, l'étage d'apogée du satellite Intelsat IV est remplacé. Les deux propulseurs d'appoint (Solid Rocket Booster ou SRB) de la navette fournissent plus de 71,4 % de la poussée totale des moteurs de la navette durant les deux premières minutes du vol avant d'être largués lorsque celle-ci a atteint une altitude de 46 km. Il n'y est nullement fait mention du pivotement de la navette et de ses 20 G d'accélération subie causant sa désintégration, qui se serait donc produite avant l'explosion du réservoir externe... Autre truc étrange, dans le paragraphe Destruction de la fusée, on peut lire : Un des points communs est le recours à l'aluminium pour la réalisation de la structure, car l'Armée de l'Air a exclu l'utilisation du titane, plus performant mais dont l'approvisionnement est jugé trop incertain[5]. Les moteurs SSME sont démontés pour révision dans un bâtiment dédié (Main Engine Processing Facility). Source : jcboulay.free.fr . Les propulseurs d'appoint sont attachés par deux fixations au réservoir externe, l'une située au niveau de la zone de liaison entre les réservoirs, l'autre située sur le réservoir d'hydrogène. La NASA défend son projet de navette spatiale en mettant en avant la réduction du prix du kilogramme de charge utile placé en orbite, par rapport aux lanceurs non réutilisables. Elle demande en septembre 1971 aux sociétés à l'origine du rapport, ainsi qu'à celles qui avaient participé à la phase B, d'étudier une navette incluant cette spécification[6],[5]. La force motrice utilisée pour orienter les tuyères est fournie par deux systèmes hydrauliques redondants dont la source d'énergie est un moteur consommant de l'hydrazine. La navette spatiale devait abaisser le risque couru par les astronautes au même niveau que celui des passagers des avions. Mais les décideurs politiques n'ont plus ni les moyens ni la volonté de financer un programme ambitieux. Chaque jambe comporte deux roues et un amortisseur oléopneumatique conventionnel (azote + huile) et est réalisé avec de l'acier hautement résistant aux contraintes mécaniques et à la corrosion, des alliages d'aluminium et de l'acier inoxydable. Par ailleurs avant le décollage, les 2 000 tonnes de l'ensemble composé par la navette, le réservoir et les propulseurs reposent entièrement sur les propulseurs. En avril 2011, le responsable de la NASA Charles Bolden annonce que la navette Atlantis sera exposée au Kennedy Space Center Visitor Complex, qui jouxte le centre spatial d'où se sont envolées toutes les navettes et où sont déjà présentés les principaux lanceurs américains. Les premiers atterrissages s'effectuaient à Edwards. Lorsque les vols reprennent en juillet 2005, après dix-huit mois d'interruption, plusieurs mesures ont été décidées pour limiter le risque. La mission STS-114 fut son 31e lancement et représenta le plus grand nombre de missions accomplies par une navette spatiale. Elles fournissent l'énergie électrique à la totalité de la navette spatiale (incluant aussi les boosters et le réservoir externe), de 3 min 30 s avant le lancement jusqu'à la fin de la mission. Ces innovations permettent d'envoyer des astronautes dans l'espace. Celle-ci place en orbite deux satellites de télécommunications privés. La destination est atteinte au bout de 6 heures ; la plateforme mobile est alors abaissée sur des trépieds et le véhicule sur chenilles est retiré. Navettes spatiales américaines : La navette spatiale américaine (en anglais Space shuttle ou Space Transportation System, STS) est une navette spatiale conçue et utilisée par l'agence spatiale américaine (NASA) dont le vol inaugural remonte au 12 avril 1981. Ces trois piles fournissent une tension de 28 V pour une intensité variant entre 61 A et 436 A. Il faut près d'un quart d'heure pour allumer une pile, aussi, deux sont toujours actives pour éviter une coupure ; elles alimentent continuellement un convertisseur produisant de l'électricité en 115 V / 400 Hz triphasé pour les appareils utilisant du courant alternatif. Fin 1971, la NASA impose un dernier changement : les moteurs du premier et du deuxième étage (les moteurs de l'orbiteur) devront être allumés au sol[5]. Par la suite, plusieurs autres plateformes scientifiques sont placées dans l'espace par la navette pour des durées de plusieurs mois ou plusieurs années avant d'être récupérées par une mission ultérieure pour l'analyse des résultats. Le successeur de Spacelab est Spacehab. À l'époque, le centre de recherches aéronautiques américain, le NACA — qui deviendra plus tard la NASA —, s'implique fortement dans les recherches sur les avions propulsés par fusée. Deux sondes spatiales sont également lancées durant ces premières années d'exploitation, le laboratoire spatial Spacelab est amené en orbite à quatre reprises et deux satellites militaires sont placés en orbite[16]. Pour ne pas endommager la structure en aluminium, qui doit être maintenue en dessous de 180 °C, une protection thermique recouvre complètement la navette. Pour parvenir à financer le développement de la navette, la NASA doit renoncer au lancement d'une deuxième station Skylab qui avait été projeté. Au cours de son ascension, il se sépare successivement de ses propulseurs d'appoint, puis de son réservoir externe. Le premier vol captif sur le dos d'un Boeing 747 aménagé a lieu le 18 février 1977. T -31 s: Les ordinateurs au sol laissent la main aux ordinateurs de bord opérations, Biographie des astronautes des vols navette, Des milliers d'images des missions navette. Le réservoir, qui est construit par Lockheed dans l'usine de Michoud en Louisiane, est réalisé en alliage lithium-aluminium, qui combine résistance et légèreté. Une base de lancement de la navette dédiée aux besoins militaires construite à grand frais (2 milliards de dollars) à Vandenberg était sur le point d'être inaugurée au moment de l'accident de Challenger : elle ne sera jamais utilisée. Celle-ci porte un nom : c’est le poids. Le 1er février 2003, l'orbiteur Columbia, dont le bouclier thermique a été endommagé par le choc à grande vitesse durant le décollage d'un morceau de mousse de protection thermique du réservoir externe, est détruit durant la rentrée atmosphérique, entraînant la perte de son équipage[23]. Les portes sont de construction tellement légères qu'au sol elles ne supportent pas leur propre poids. Mais la navette est un engin beaucoup plus complexe qu'un lanceur classique et donc plus susceptible de connaître une défaillance même avec des procédures de contrôle très lourdes. La "White Room" est la petite salle qui vient s'accoler contre Les deux propositions qui arrivent en tête sont, d'une part, celle de North American Rockwell, constructeur du module de commande et de service Apollo implanté en Californie, d'autre part, celle de Grumman constructeur du module lunaire Apollo implanté dans l'État de New York.