Au bout de quinze minutes, la pression n'est toujours pas tombée à zéro et Houston suggère d'ouvrir tout de même l'écoutille donnant sur l'extérieur. Le 23 juillet, la dernière nuit avant l'amerrissage, les trois astronautes font une émission de télévision dans laquelle tour à tour les astronautes Collins [188],[188],[189],[note 17] et Armstrong [188] [note 18] résument leur ressenti. Le deuxième rôle de l'étage de descente est de transporter tous les équipements et consommables qui peuvent être abandonnés sur la Lune à la fin du séjour, ce qui permet de limiter le poids de l'étage de remontée[25],[26]. Neil Armstrong le 21 juillet 1969 marchant sur la Lune. Le 12 juillet, alors qu'Apollo 11 est encore sur la rampe de lancement, le porte-avions Hornet quitte Pearl Harbor pour la zone de récupération dans le Pacifique central[193], aux environs de 10° 36′ N, 172° 24′ E[114]. Le sol autour de l'empreinte n'a pourtant pas … À leurs côtés, le chef d'état-major de l'armée américaine, le général William Westmoreland, quatre membres du cabinet, 19 gouverneurs d'État, 40 maires 60 ambassadeurs et 200 membres du Congrès. Il pense que Lovell mérite de commander sa propre mission (finalement Apollo 13)[37]. Neil Armstrong, en particulier, a été très méticuleux“. Les données étaient reçues par des radiotélescopes situés en Australie et en Californie et enregistrées au sol sous forme de données brutes sur des bandes d'un pouce. Cette célébration marque le début d'une tournée mondiale de 38 jours, du 29 septembre au 5 novembre, qui conduit les astronautes dans 22 pays étrangers et qui inclut des visites à des dirigeants de nombreux pays[220],[221],[222]. Chaque fois qu'il passe au-dessus du site d'atterrissage présumé, il essaie en vain de trouver le module. Il y a eu trois représentations par nuit les 19 et 20 juillet, la dernière ayant eu lieu samedi, légèrement retardée pour que la partie où Armstrong pose le pied sur la Lune pour la première fois se produise exactement 50 ans après l'événement réel[294],[295]. L'image, en noir et blanc, est trouble et sombre. Le ravitaillement en carburant est terminé trois heures avant le lancement[101]. Le lanceur souffre d'effet pogo, les piles à combustible utilisées pour la première fois fuient et la tentative de mise au point d'une aile volante pour faire atterrir la capsule sur le sol ferme échoue. Par ailleurs, des mesures seront prises (modification des programmes de calcul de trajectoire et accroissement des corrections de trajectoire intermédiaires) pour que les pilotes disposent de plus de marge en carburant[125],[126],[127]. Sur la base du schéma normal de rotation des équipages, Armstrong doit alors commander Apollo 11[32]. La mauvaise visibilité qui peut rendre difficile la localisation de la capsule, et les forts vents en altitude qui auraient déchiré leurs parachutes selon Brandli constituent une menace sérieuse pour la sécurité de la mission[195]. En juillet 2010, les enregistrements vocaux air-sol et les séquences filmées tournées au centre de contrôle de la mission pendant la descente et l'atterrissage d'Apollo 11 sont re-synchronisés et diffusés pour la première fois[282]. Le moteur se trouve dans le compartiment carré central. La manœuvre donne une forme elliptique très allongée à l'orbite et l'apogée se situe désormais au-delà de notre satellite. En raison des retards de conception et de fabrication du LM, Apollo 8 et Apollo 9 échangent leurs équipages et celui d'Armstrong devient remplaçant sur Apollo 8. En 1966 il est le commandant et le pilote de la mission Gemini 12 dont le principal objectif est de démontrer qu'un astronaute peut travailler dans l'espace[42]. Les BIGs sont portés jusqu'à ce qu'ils atteignent les installations d'isolement à bord du Hornet. Les médias accusent Armstrong d'avoir exercé la prérogative de son commandement pour quitter le vaisseau spatial en premier[88]. Pour faire de la place, la plus grande partie de l'aile aérienne du Hornet est laissée à Long Beach. Le drapeau des Samoa américaines sur Apollo 11 est exposé au musée Jean P. Haydon (en) à Pago Pago, la capitale des Samoa[219]. Plus tard, l'équipage de Lovell est forcé de changer de place avec l'équipage provisoire d'Alan Shepard pour Apollo 13 afin de donner à Shepard plus de temps d'entraînement[49]. Armstrong lit le texte à haute voix : « Ici des hommes de la planète Terre ont pris pied pour la première fois sur la Lune, juillet 1969 apr. Les informations dont disposent l'équipage et les contrôleurs de mission pendant l'atterrissage montrent que le LM avait suffisamment de carburant pour 25 secondes supplémentaires de vol motorisé avant qu'un arrêt sans atterrissage ne devienne dangereux[133],[134], mais l'analyse post-mission montre que le chiffre réel est probablement plus proche de 50 secondes[135]. Armstrong avait déjà posé le simulateur du LM, le LLTV, avec moins de quinze secondes de carburant restant à plusieurs reprises et était par ailleurs convaincu que le module lunaire pouvait résister à une chute de 15 m en cas de besoin. La consistance du sol lunaire avait été la source de beaucoup d'interrogations depuis le lancement du programme Apollo. Le succès d'Apollo 11 démontre la supériorité technologique des États-Unis[243],[244],[245]. 2726 à la 114e session de la Chambre des représentants des États-Unis, ordonnant à la Monnaie des États-Unis de concevoir et de vendre des pièces commémoratives en or, en argent et plaquées pour le 50e anniversaire de la mission Apollo 11. History Office. Les hautes terres sont constituées de fragments de cette croûte originelle. Nous les remercions tout particulièrement ce soir, ainsi que toutes les personnes qui nous écoutent et nous regardent ce soir, que Dieu vous bénisse. La pente doit être inférieure à 2 % pour limiter le risque d'un atterrissage violent qui pourrait interdire le décollage et être donc fatal à l'équipage. C'était il y a 50 ans. Dans la tribune des officiels sont présents le vice-président Spiro Agnew ainsi que l'ancien président, Lyndon B. Johnson et son épouse Lady Bird Johnson[100]. Armstrong s'exclame : « L'aigle a des ailes !»[note 10],[121]. Une troisième hypothèse est que cet écart résulte des manœuvres effectués par le LM immédiatement après la séparation[122],[123]. Comme les astronautes portent leur combinaison spatiale et que le vaisseau est petit, il est difficile de manœuvrer pour en sortir. Le module de commande Columbia fait une tournée des États-Unis, visitant 49 capitales d'État, le district de Columbia et Anchorage, en Alaska[262]. Le dernier barreau pose un problème car il est à un mètre du sol environ : il était prévu que le choc de l'atterrissage serait absorbé par les pieds du LM, qui s'écraseraient légèrement et verraient leur longueur diminuée, rapprochant ainsi l'échelle suffisamment près du sol. Quelques minutes plus tard, le signal est transféré vers le radiotélescope Parkes, plus sensible, en Australie[153]. La bibliothèque et le musée présidentiels John F. Kennedy créent un site web qui retransmet les transmissions d'Apollo 11 du lancement à l'atterrissage sur la Lune[283]. Les meilleurs télescopes terrestres n'ont pas pu fournir les données avec la résolution requise par le projet Apollo[74]. Cinquante ans après avoir été utilisé, il demeure le plus puissant jamais développé au monde, malgré les efforts développés en secret par les Soviétiques avec la fusée N-1, alors qu'ils cherchaient à envoyer l'un des leurs sur la Lune avant leurs rivaux américains[30]. Déroulement détaillé d'une mission lunaire Apollo avec une explication pédagogique très détaillées de tous les aspects techniques. Une équipe d'astronautes surnommée la CAPCOM (Interlocuteur Vaisseau) suit depuis de nombreuses heures, inquiets, l'arrivée de Neil Armstrong et de Buzz Aldrin sur la Lune. Arrivé sur le dernier barreau de l'échelle, Aldrin se laisse tomber sur le pied du LM, puis vérifie à son tour qu'il peut bien sauter pour poser un pied sur le premier barreau. Le LM dépasse de 7 km le site sélectionné pour l'atterrissage (« Site no 2 ») et s'approche d'une zone encombrée de rochers. Sans attendre la mise au point du vaisseau très sophistiqué prévu pour la mission lunaire, les responsables de la NASA lancent un programme destiné à acquérir ces techniques avec le programme Gemini qui est chargé de remplir trois objectifs : Le vaisseau spatial Gemini, qui devait initialement être une simple version améliorée de la capsule Mercury, se transforme au fur et à mesure de sa conception en un vaisseau complètement différent de 3,5 tonnes (contre environ une tonne pour le vaisseau Mercury), capable de voler avec deux astronautes durant deux semaines. Alors que la descente est entamée, Armstrong et Aldrin constatent que les points remarquables à la surface de la Lune (cratères...) qui servent de repère défilent avec deux ou trois secondes d'avance par rapport à ce qui était prévu. L'astronaute americain Neil Armstrong près du drapeau americain sur la lune le 20 juillet 1969 lors de la mission lunaire Apollo 11. Après avoir consulté le vice-président Lyndon B. Johnson pour qu'il lui indique des objectifs qui permettraient aux États-Unis de reprendre le leadership à l'Union soviétique[4], le président annonce 25 mai 1961, devant le Congrès des États-Unis, lors du Special Message to the Congress on Urgent National Needs, le lancement d'un programme qui doit amener des astronautes américains sur le sol lunaire « avant la fin de la décennie »[5],[note 2]. Après discussion, la branche d'olivier est déplacée dans les serres[97]. Des millions d'autres personnes dans le monde écoutent les émissions de radio [100],[106]. Ils entament la longue procédure préparant le décollage. Lorsque celle-ci est atteinte après avoir parcouru une demi-orbite, commence la phase de freinage proprement dite. Le module lunaire vu par Armstrong quand il s'en éloigne, à la fin de l', Aldrin commence par installer le collecteur de. Les opérations de lancement sont partiellement automatisées, avec 43 programmes écrits en langage de programmation ATOLL[102]. Le 20 juillet 1969 à 21 heures, 56 minutes et 20 secondes, personne ne dort au centre de contrôle de la NASA, situé à Houston (Texas). Le 16 juillet 1969, des foules ont fait le déplacement pour assister au lancement des premiers hommes à tenter de débarquer sur la Lune. Buzz Aldrin, photographié par Neil Armstrong, marchant sur la Lune le 20 juillet 1969. Il hisse ensuite les deux valises d'échantillons avec un système à poulie jusqu'au niveau du sas de l'habitacle où celles-ci sont récupérées par Aldrin. Il effectue plusieurs allers et retours devant la caméra vidéo en courant : il ne ressent aucune gêne pour se déplacer mais indique que lors d'un changement de direction il faut effectuer plusieurs pas pour être certain d'être en équilibre, difficulté accrue par le fait que le centre de gravité de l'astronaute est inhabituellement haut en raison du poids élevé de l'encombrant PLSS[139]. Le calendrier de la mission prévoit une période de sommeil de cinq heures après l'atterrissage, mais ils choisissent de commencer les préparatifs de l'EVA, pensant qu'ils ne pourraient pas dormir[138]. Un secteur contient trois piles à combustible qui fournissent la puissance électrique et en sous-produit l'eau ainsi que deux réservoirs d'hydrogène et deux réservoirs d'oxygène qui les alimentent. Lovell prend sa place dans l'équipage d'Apollo 8, et lorsque Collins se remet, il rejoint l'équipage d'Armstrong en tant que pilote du CSM. Sa forme complexe, qui résulte d'une optimisation de l'espace occupé, lui donne l'allure d'une tête d'insecte. Duke bégaie légèrement en répondant pour exprimer le soulagement au contrôle de la mission : « Roger, Twan-Tranquilité, nous comprenons que vous avez atterri. Michael Collins, après des études à l'académie militaire de West Point, devient pilote de chasse dans l'Armée de l'air. Armstrong déclare que se déplacer dans la gravité lunaire, un sixième de celle de la Terre, était « peut-être même plus facile que les simulations... ». Les directeurs de vol détiennent le contrôle global de tous les postes individuels du centre de contrôle de mission. À Houston on est inquiet de la durée anormalement longue de l'atterrissage, et l'abandon de la mission est de nouveau envisagé. Neil Amstrong, un héros qui fuit la notoriété. Jamais les Américains ne se sont sentis aussi fiers. L'équipage d'Apollo 11 embarque à bord d'un vaisseau composé de deux parties distinctes : d'une part le vaisseau Apollo (CSM, pour « Command/Service Module », soit Module de Commande et de Service), qui reste en orbite lunaire d'autre part le module lunaire Apollo (LM, soit « Lunar Module », soit Module Lunaire), prévu pour permettre à deux des trois membres d'équipage de se poser sur le sol lunaire et d'en revenir pendant que le troisième les attend en orbite à bord du CSM. Houston déclare que l'impact des sacs a été enregistré par le sismographe[146]. Enfin, après 9 minutes et 8 secondes de vol, le troisième étage S-IVB entre à son tour en service [108]. Au retour de la mission les échantillons de roches et du sol lunaire ramenés par l'équipage d'Apollo 11 sont stockés et examinés dans le laboratoire LRL (Lunar Receiving Laboratory) créé à cet effet à Houston et conçu pour empêcher toute diffusion d'éventuels organismes extraterrestres[note 19]. Le président Richard Nixon regarde le lancement depuis son bureau à la Maison-Blanche avec son agent de liaison à la NASA, l'astronaute Frank Borman[107]. Lorsque Columbia repasse devant la Lune, il peut signaler que le problème a été résolu. Les journalistes écrivent au début de 1969 qu'Aldrin serait le premier homme à marcher sur la Lune, et l'administrateur associé George Mueller affirme la même chose aux journalistes. Après plus de 21 heures sur la surface lunaire, en plus des instruments scientifiques, les astronautes laissent derrière eux : un écusson de la mission Apollo 1 à la mémoire des astronautes Roger Chaffee, Gus Grissom et Edward White, morts lorsque leur module de commande prend feu lors d'un essai en janvier 1967 ; deux médailles commémoratives des cosmonautes soviétiques Vladimir Komarov et Youri Gagarine, morts respectivement en 1967 et 1968 ; un sac commémoratif contenant une réplique en or d'un rameau d'olivier comme symbole traditionnel de paix ; et un disque en silicone de messages portant les déclarations de bonne volonté des présidents Eisenhower, Kennedy, Johnson et Nixon ainsi que les messages des dirigeants de 73 pays du monde entier[180]. Les vannes libèrent aérozine et tétraoxyde d'azote vers la chambre de combustion, des boulons explosifs désolidarisant l'habitacle de la plateforme. Mais les objectifs scientifiques trop vagues ne réussissent pas à convaincre le Congrès américain beaucoup moins motivé par les programmes spatiaux « post-Apollo ». Pour l'écouter, inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous directement si possédez déjà un compte RCF. Après qu'Aldrin et Armstrong terminent leur sortie extravéhiculaire, Collins dort afin de pouvoir se reposer pour le rendez-vous. Pour les deux orbites suivantes, il décrit son séjour sur la face arrière de la Lune comme étant « relaxant ». Aldrin ramène ensuite la carotte obtenue ainsi que la feuille d'aluminium du collecteur de particules jusqu'au MESA (Modularized Equipment Stowage Assembly) pour qu'Armstrong puisse les inclure dans le paquetage. Histoire du projet scientifique associé au programme Apollo (document NASA, Histoire du développement des installations de lancement des missions Apollo en Floride et mise au point des opérations de lancement (document NASA n° Special Publication-4204 ) -, Histoire détaillée du développement de la famille de lanceurs Saturn (document NASA n° Special Publication-4206 ) -, Histoire du développement des deux vaisseaux Apollo : CSM et module lunaire (document NASA n° Special Publication-4205). Une fois ces images prises, la caméra était détachée de son support et fixée sur un trépied pour filmer l'activité des astronautes au sol[247]. Pour donner à Collins une idée de l'endroit où chercher, le centre de contrôle de la mission lui fait savoir par radio qu'ils pensent que le module lunaire s'est posé à environ 6 kilomètres de la cible. Carte familles nombreuses : jusqu’à 75 % de réduction sur les billets de train. La Saturn V résulte en grande partie des travaux menés par le motoriste Rocketdyne sur la propulsion cryotechnique oxygène/hydrogène et les moteurs de forte puissance. La procédure prévoit que le pilote prenne la main pour amener le module lunaire au sol mais il peut, s'il le souhaite, laisser faire l'ordinateur de bord qui dispose d'un programme de pilotage pour cette dernière partie du vol[note 8]. Neil Armstrong et Buzz Aldrin n'ont pas dormi depuis longtemps. La mise en orbite de Spoutnik 1 le 4 octobre 1957, qui a un retentissement mondial, est une énorme surprise pour le public américain et est vécu comme une atteinte symbolique à la supériorité américaine par les responsables politiques de ce pays[1]. Cinq PPK de 0,23 kg chacun sont transportés sur Apollo 11 : trois (un pour chaque astronaute) sont rangés sur Columbia avant le lancement, et deux sur Eagle. Le module de service contient aussi les radiateurs qui dissipent l'excédent de chaleur du système électrique et qui régulent la température de la cabine. Les premières images qui ont pu être observées en direct, celle de Neil Armstrong descendant l’échelle pour poser un pied sur la Lune, ont été filmée grâce à une caméra montée sur le module lunaire, de façon à pouvoir enregistrer ces premiers pas légendaires. J'aurais pu obtenir le même genre d'empreinte sur la terre en marchant dans une terre argileuse mais sûrement pas sur la lune ou alors SCOOP du siècle, il y a de l'eau sur la lune sous forme liquide ! Lorsque le programme Apollo est lancé, la NASA vient tout juste de lancer son premier astronaute dans l'espace dans le cadre du programme Mercury. Armstrong avait l'intention de dire « That's one small step for a man » (« C'est un petit pas pour un homme »), mais le mot « a » n'est pas audible dans la transmission, et n'a donc pas été rapporté initialement par la plupart des observateurs de l'émission en direct. Vous avez ici un groupe de gars sur le point de devenir bleus. Une première pour l’Humanité qui n’a, jusqu’à présent, jamais arpenté un autre astre du système solaire. La dernière partie de la phase est un déplacement horizontal à la manière d’un hélicoptère qui permet à la fois d’annuler toutes les composantes de vitesse mais également de mieux repérer les lieux. Quelques minutes après le départ, le drapeau américain, planté trop près du module lunaire, est mis à terre par le souffle des réacteurs de l'engin. Il est ensuite transporté à la base aérienne de Hickham, d'où il est acheminée à Houston à bord d'un Douglas C-133 Cargomaster, pour atteindre le laboratoire de réception lunaire le 30 juillet[210]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Juste avant le vol d'Apollo 12, il est noté qu'Eagle est toujours susceptible d'être en orbite autour de la Lune. Sa puissance est équivalente à celle d'une calculatrice bas de gamme des années 2000[note 9],[118]. Rapport scientifique préliminaire de la mission Apollo 11. Armstrong près du module lunaire, une des rares photos de lui prises par Aldrin. Il est sélectionné comme astronaute par la NASA en 1963 dans le même groupe qu'Aldrin. Au moment où Buzz Aldrin réintègre l'habitacle étroit du module lunaire, avec l'encombrant PLSS dépassant de son dos, il casse par inadvertance le bouton du coupe-circuit qui permet l'armement de la mise à feu du moteur de l'étage de remontée du LM et donc le décollage. Les astronautes disposent par ailleurs de cinq hublots pour effectuer des observations dont deux dédiés aux manœuvres de rendez-vous avec le module lunaire. L'affectation du commandant de mission Neil Armstrong, du pilote du module de commande et de service (CSM) Jim Lovell et du pilote du module lunaire (LM) Buzz Aldrin au sein de l'équipage de réserve d'Apollo 9 est officiellement annoncée le 20 novembre 1967[31]. Le module de commande Apollo est la partie dans laquelle les trois astronautes séjournent durant la mission, sauf lorsque deux d'entre eux descendent sur la Lune au moyen du module lunaire. L'insigne de la mission d'Apollo 11 est conçu par Collins, qui veut un symbole pour « l'atterrissage pacifique par les États-Unis ». Celle-ci se traduit par des affrontements militaires indirects (guerre de Corée) mais également par une course aux armements. Pour la mission Apollo 11, l'équipe verte est dirigée par Clifford E. Charlesworth et est responsable du lancement et des activités extra-véhiculaires. Bien qu'il ait été dit « qu'aucun humain n'avait connu une telle solitude depuis Adam », lui a pleinement le sentiment de faire partie de la mission. Le vaisseau spatial emportant l'équipage est lancé depuis le Centre spatial Kennedy le 16 juillet 1969 par la fusée géante Saturn V développée pour ce programme. Durant les années 1950, la guerre froide bat son plein entre les États-Unis et l'Union soviétique, les deux superpuissances de l'époque. Tout cela n'est possible que grâce au sang, à la sueur et aux larmes d'un certain nombre de personnes... Tout ce que vous voyez, c'est nous trois, mais sous la surface, il y a des milliers et des milliers d'autres personnes, et à toutes ces personnes, je voudrais dire Merci beaucoup », « Cela fait bien plus que trois hommes en mission sur la Lune ; plus, encore, que les efforts d'une équipe gouvernementale et industrielle ; plus, même, que les efforts d'une nation. Richard Nixon et Spiro Agnew honorent chaque astronaute en lui remettant la Médaille présidentielle de la Liberté[215],[217]. Le rôle de l'équipe de réserve est de s'entraîner et d'être prêt à voler en cas de problèmes pour la première escouade[48]. Il y avait en fait deux erreurs : d'une part la procédure fournie aux astronautes indiquait à tort de laisser le radar de rendez-vous allumé et d'autre part il y avait un défaut de conception dans l'interface entre l'ordinateur et le radar de rendez-vous. Le 21 juillet 1969, Neil Armstrong devenait le premier homme à poser un pied sur la Lune. Ces préparatifs prennent plus de temps que prévu ; trois heures et demie au lieu de deux[141]. Ces informations sont nécessaires pour la conception des engins spatiaux et préparer les atterrissages. Des sondes situées sous les semelles du train d’atterrissage prennent contact avec le sol lunaire lorsque l'altitude est inférieure à 1,3 mètre et transmettent l’information au pilote. Rapport à destination des responsables de la NASA décrivant la mission Apollo 11 avant son lancement (document, Dossier de présentation à la presse de la mission Apollo 11 (document NASA, Manuel décrivant les instruments scientifiques emportés à la surface de la Lune (EASEP), Manuel utilisateur du module de commande et de service bloc 2, Description détaillée mais non technique du module de commande et de service, Description détaillée mais non technique du module lunaire, Description des sous-systèmes du module lunaire, Définition et analyse postérieure des trajectoires de descente et de remontée du module lunaire Apollo 11 et 12 (document NASA n° TM X-58040), Rapport post mission décrivant son déroulement, ses performances, les anomalies rencontrées... (MSC-00171). Armstrong devait abaisser ce compartiment depuis la plateforme pour que la caméra puisse filmer sa descente vers le sol lunaire. Après le retour sur Terre de l'équipage d'Apollo 11, les responsables soviétiques déclarent que la NASA a fait courir des risques coûteux à l'équipage et qu'il n'était pas nécessaire d'envoyer des hommes pour récupérer des échantillons de sol lunaire. À la suite de cet incident, la NASA décide que des protections seront placées sur les coupe-circuits pour les missions suivantes et ajoute des check-lists supplémentaires pour contrôler l'état des coupe-circuits[174],[175]. L'étage de montée du module lunaire (LM-5) arrive au Centre spatial Kennedy le 8 janvier 1969, suivi de l'étage de descente quatre jours plus tard, et du module de commande et de service (CM-107) le 23 janvier[63]. La poussière lunaire soulevée par le moteur du LM l'empêche en partie d'estimer le mouvement du vaisseau par rapport à la surface. Dans son autobiographie, il écrit : « cette aventure a été structurée pour trois hommes, et je considère que le troisième est aussi nécessaire que les deux autres ». Les astronautes sont installés sur trois sièges, côte à côte, parallèles au fond du cône et suspendus à des poutrelles partant du plancher et du plafond (la pointe du cône). Au prix de nouveaux travaux faisant passer le coût du programme de 350 millions de dollars à un milliard de dollars, deux vols sans équipage ont lieu en 1964 et au début de l'année 1965. En position allongée, les astronautes ont en face d'eux, suspendu au plafond, un panneau de commandes large de deux mètres et haut de un mètre présentant les principaux interrupteurs et voyants de contrôles. Neil Armstrong, diplômé de l'université Purdue commence sa carrière comme pilote de chasseur dans la Marine américaine entre 1949 et 1952 et participe à la guerre de Corée. L'une des premières tâches de Collins est d'identifier le module lunaire au sol. En août 2006, la NASA, qui tente de restaurer des vidéos de meilleure qualité, annonce qu'elle ne dispose plus des cassettes de bande magnétique d'origine contenant les vidéos et les télémesures d'origine de la mission Apollo 11 et que les seuls enregistrements disponibles résultent des conversions dans des formats plus récents des copies en version dégradée.
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