Voici une légende facilitant la lecture de l'issue des guerres ci-dessous : Cette attaque est motivée par deux raisons : le tracé de la frontière entre l’Irak et l’Iran et la menace que représente l’Iran pour l’Irak. Selon les déclarations écrites de l'Irak à l'ONU en 2002 sur son programme chimique, tout le matériel et les connaissances ayant pour but de mettre au point ce programme viennent des pays suivants : Singapour, Pays-Bas, Égypte, Inde, RFA, Luxembourg, Brésil, France[24], Autriche, Italie et États-Unis. récemment déclassifié de la CIA, le programme chimique irakien aurait coûté 200 millions de dollars de 1974 à 1984 contre 75 milliards de dollars de dépenses militaires irakiennes totales sur la même période. La force aérienne irakienne (acronyme anglais : IQAF) a joué un rôle important dans ce conflit. Un peu plus de 20 ans plus tard, les Russes et les Britanniques agiraient à nouveau en tant qu'alliés en Iran. La marine irakienne restera ensuite pratiquement inactive pendant tout le reste du conflit. Selon l'Institut de recherche sur la paix de Stockholm, 52 pays ont fourni des armes à l'Iran ou à l'Irak durant le conflit, et 29 aux deux. L'Union soviétique, liée à l'Irak par un accord de coopération depuis 1972, proclama dès le début du conflit sa neutralité, coupant sur le champ les livraisons d'armes à l'Irak après son agression contre l'Iran : les accords sur les livraisons ne valaient que pour les cas de défense contre une attaque éventuelle et non pour cautionner une invasion[réf. Les deux belligérants s'échangèrent même une cinquantaine de chars capturés l'un par l'autre en 1985, ce qui fut un des événements parmi les plus inhabituels de cette guerre. En pratique : Quelles sources sont attendues ? URL : Iranian Use of Chemical Weapons : A Critical Analysis of Past Allegations. Le 3 juillet 1988, le vol 655 d'Iran Air, un vol commercial assurant la liaison entre Téhéran, la capitale de l'Iran, et Dubaï aux Émirats arabes unis via Bandar Abbas est abattu au-dessus du golfe Persique par un tir de missile provenant du croiseur américain USS Vincennes. La poursuite de l'utilisation des armes chimiques dans la guerre est énergiquement condamnée par la Communauté européenne le 25 mai 1987 et par le Conseil de sécurité de l'ONU le 9 mai 1988[18]. En plus, ils leur livrent des immenses réservoirs largables de 5 000 litres et modifient les RB pour pouvoir les transporter. Ce passage, repris dans le film éponyme qui recevra en 2007 le prix du jury au Festival de Cannes, contribue là encore à faire de cette … Début 1981, l'armée iranienne contre-attaque et parvient à libérer l'essentiel de son territoire début 1982. En janvier 1981, les Iraniens menèrent une contre-attaque de plus grande envergure, au sud de Susangerd, qui se solda par un échec, dû à l'absence d'infanterie pour soutenir l'action des chars et à la nature du terrain, très mou à cette époque de l'année, et donc impropre au déplacements des chars. En outre, nous avons vu les effets extrêmement nocifs de l'ypérite sur la jeune mère qui était enceinte de quatre mois »[15]. Parmi les vedettes des Pasdarans qui s'attaquaient aux navires dans le golfe persique, vingt d'entre elles avaient été construites en Suède et livrées en 1986. Elle regagna ainsi quelques territoires perdus. À partir de 1984, l'IRIAF est confrontée à l'usure du matériel face à un adversaire de mieux en mieux équipé. Elle est également due aux appréhensions des conséquences … Le scandale ébranla la Maison-Blanche, qui avait elle-même placé l'Iran sous embargo militaire après l'arrivée au pouvoir de l'ayatollah Khomeyni. nécessaire]. Cette thèse a été à l'époque également défendue quelque temps par l'administration américaine. Les accords d'Alger (1975) furent conclus pour redéfinir les frontières. Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». Cette liste regroupe les guerres et conflits ayant vu la participation de l'Iran. En Iran, lors de commémorations, les politiques et associations d'anciens combattants évoquent toujours le chiffre d'un million de morts, dont une grande partie des pertes étaient constituées de mineurs, de moins de 18 ans. Il montre aussi que le capitaine du navire croyait réellement tirer sur un avion militaire. Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande, Front populaire de libération du Golfe arabique occupé, Front populaire pour la Libération d'Oman, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Liste_des_guerres_de_l%27Iran&oldid=167528517, Liste en rapport avec l'histoire militaire, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Iran et monde iranien/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Les navires koweïtiens furent alors placés sous pavillon des États-Unis. L’économie : l’autre guerre. Il est à souligner en revanche que l'URSS ne semble avoir fourni aucune aide à l'Irak dans ce programme[25]. Début 1985, les Irakiens décident de frapper Téhéran avec leur MiG-25R. Israël servit d'intermédiaire dans l'affaire, qui avait déjà vendu secrètement auparavant des armes antichars (missiles TOW) et des missiles sol-air à l'Iran. Le désir … Après deux ans de guerre, la position de l'Iran se radicalise : il s'agit désormais de réduire la puissance de l'Irak, de destituer Saddam Hussein et de le remplacer par un régime islamique. … La guerre Iran-Irak, connue en Iran sous le nom de guerre imposée (en persan : جنگ تحمیلی, Jang-e-tahmili) ou Défense sacrée (en persan : دفاع مقدس, Defā'e moghaddas) et en Irak sous le nom de Qādisiyyah de Saddam (en arabe : قادسيّة صدّام) est une guerre qui a opposé l'Iran à l'Irak entre le 22 septembre 1980, date de l'invasion irakienne de l'Iran, et le 20 août 1988. On peut cependant noter que l'Iran est un pays 3 fois plus peuplé et 4 fois plus vaste que l'Irak. Le rapport de l'ONU, réalisé par un colonel de l'armée espagnole, notait seulement que « des armes chimiques ont de nouveau été employées tant en Irak qu'en Iran » et que « le nombre de victimes civiles augmente ». La dernière modification de cette page a été faite le 17 février 2020 à 18:41. Les Soviétiques protestent et leur offrent de transformer tous les Mig-25R irakiens au standard RB. Malgré l'effet de surprise, l'invasion irakienne ne connaît pas le succès escompté, ne réalisant que des gains territoriaux très limités, et est rapidement repoussée par une série de contre-attaques iraniennes. Le Pentagone a d'abord affirmé que le commandant du navire croyait avoir affaire (sur les radars) à un chasseur F-14 iranien en piqué. La manœuvre échoue, et entraîna une violente répression de Téhéran. https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guerre_Iran-Irak&oldid=182339222, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article contenant un appel à traduction en allemand, Article manquant de références depuis août 2017, Article manquant de références/Liste complète, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Iran et monde iranien/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Échec de l'offensive irakienne aboutissant à un, provoquer éventuellement un soulèvement dans la province iranienne du. La guerre maritime présumée que se livrent Israël et l’Iran a pris ces derniers jours une nouvelle dimension. La ligne de front se stabilisa à la frontière commune, malgré de nombreuses offensives de part et d'autre, il n'y eut pas de percée majeure pendant plus de six ans. Selon l'historien Pierre Razoux : « Pendant toute la durée de la guerre, la France va s’imposer comme le second pourvoyeur d’armes de l’Irak, derrière l’Union soviétique, en lui livrant 121 Mirage F-1, 56 hélicoptères de combat, 300 véhicules blindés, 80 canons automoteurs GCT-AUF1, du matériel antiaérien et antichar de dernière génération, des milliers de missiles et des millions d’obus et munitions diverses[65]. Le 28 septembre 1980, la résolution 479 de l'ONU (en) demande un cessez-le-feu immédiat mais sans exiger le retrait par l'Irak des territoires iraniens qu'elle occupe[4]. Le 28 juin 1987, l'Irak utilise l'arme chimique sur la ville de Sardasht (en) en Iran, tuant une centaine de personnes et en blessant au moins 2 000. Lorgnant depuis longtemps plusieurs territoires iraniens, il espère ainsi faire disparaître le régime fondamentaliste et réduire son influence sur le mouvement islamique, souhaitant lui-même prendre la gouvernance dans le monde arabe. Ces milices sortiront, pour une grande partie, largement affaiblies à l'issue du conflit. Sa principale intervention militaire directe dans le conflit a été le bombardement de la centrale nucléaire irakienne en construction Osirak en 1981, attaque qui avait nécessité deux vols de reconnaissance préalable, le premier étant accompli par deux RF-4E iraniens, le second par un appareil israélien[réf. En janvier 1987, l'Iran lança deux grandes offensives : Kerbala 5, à l'est de Bassorah, où Téhéran voulait établir un gouvernement provisoire d'une République islamique irakienne, constitué avec les chefs des opposants chi'ites irakiens réfugiés en Iran ; et Kerbala 6, offensive à 150 km au nord de Bagdad, en direction des grands barrages de l'Euphrate. En juillet 1987, l'Iran entreprit de contrôler la navigation maritime dans le golfe. Elle comptera 950 appareils modernes à la fin de la guerre. Analyse militaire par l'USAF des capacités et des méthodes de l'armée de l'air irakienne pendant la guerre. Le 2 août 1988 a lieu la dernière attaque chimique irakienne de la guerre : la ville d'Oshnaviyeh est bombardée par un avion irakien et au moins un millier de personnes sont blessées[23]. En particulier, les rédacteurs de ce rapport déclarent : « Dans un hôpital de Téhéran nous avons vu les effets de l'ypérite sur une famille de paysans, en particulier la mère et ses deux petites filles âgées de 2 et 4 ans. Selon une source officielle iranienne chargée du traitement des blessés chimiques, les pertes iraniennes par armes chimiques pendant la guerre seraient même de 100 000 blessés ou tués[12]. Des entreprises yougoslaves et britanniques construisirent cinq grands aéroports militaires entre 1975 et 1987, pour un montant de 4,3 milliards de dollars. Considérée comme l'un des conflits les plus importants du XXe siècle, la guerre Iran-Irak ne donnera lieu à aucune réparation, et n'induit pas de changements territoriaux. Selon l'Iranien Hooshang Amirahmadi, fondateur du think tank Conseil Américano-Iranien, les dégâts causés aux habitations iraniennes furent considérables. Avant la guerre, l'Iran et l'Irak comptaient sur leurs revenus pétroliers pour subvenir à leurs besoins militaires : 3,5 millions de barils par jour exportés par l'Irak et 1,6 million par l'Iran. Voici une légende facilitant la lecture de l'issue des guerres ci-dessous : Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Iran: «Trump ne veut pas la guerre, mais sa politique risque fort d’y mener» Publié le : 24/06/2019 - 07:49 Le président américain Donald Trump à Washington le 21 juin 2019. À LIRE AUSSI Israël-Iran, l'autre guerre en Syrie Cet incident n'est que le dernier épisode en date de la guerre larvée que se livrent la République islamique et l'État hébreu. Plusieurs milices locales prennent part au conflit : l'Organisation des moudjahiddines du peuple iranien s'allie à l'Irak baassiste, et de l'autre côté les milices kurdes irakiennes du Parti démocratique du Kurdistan et de l'Union patriotique du Kurdistan combattent aux côtés des forces armées iraniennes. Le régime irakien a expliqué que c'était l'œuvre de l'armée iranienne. L'Irak affirmait vouloir exercer à nouveau sa souveraineté sur les voies navigables et sur les territoires du Chatt el'Arab, cédés en 1975. L’Irak, pour sa part, l’évalue entre cinquante et soixante milliards de dollars. Le président Saddam Hussein, selon son habitude, aura voulu précéder l'événement et contenir un déferlement de la révolution khomeiniste que ses services de renseignement jugent, à travers plusieurs indices, imminent. Les Irakiens ont alors l'intention d'équiper leurs Foxbat de bombes de fabrication espagnole. Quand au rôle région, c'est curieux mais ce discours de fermeté vis-à-vis de l'Iran, on l'entend de la bouche d'Ansarallah, de Gaza, du Hezbollah ou des alliés irakiens de l'Iran. Le groupe Australie estime à 70 000 le nombre de victimes iraniennes, dont 10 000 morts (dans leur très grande majorité des soldats) à la suite de l'emploi de ces armes[11]. Vingt-cinq autres vedettes venaient d'un chantier de Boston. Elle est également due aux appréhensions des conséquences de la révolution iranienne de 1979 qui porte l'ayatollah Khomeini au pouvoir, le gouvernement sunnite irakien de Saddam Hussein craignant que cette dernière n'attise les desseins révolutionnaires de la majorité chiite longuement réprimée. Les contre-offensives iraniennes sont nommées Kerbela 1, 2, etc., évoquant le combat des premiers chiites contre le pouvoir sunnite. Nous avons eu une expérience bouleversante ayant assisté aux souffrances endurées par la fillette de quatre ans moins de deux heures avant sa mort. Un film relatant ces évènements fut tourné[72]. De gauche à droite et de haut en bas : un, Armée de terre de la République islamique d'Iran (1980), Forces aériennes de la République islamique d'Iran, Implication des autres pays du Moyen-Orient, Bilan humain et couts et étendues des destructions, Conséquences sur l'opinion publique iranienne et relations contemporaines entre l'Iran et l'Irak, « Dans un hôpital de Téhéran nous avons vu les effets de l', L'État d'Israël fut également l'un des principaux fournisseurs d'armes des forces aériennes iraniennes, attaque qui avait nécessité deux vols de reconnaissance préalable, le premier étant accompli par deux RF-4E iraniens, le second par un appareil israélien, « À l’époque, les Iraniens avaient intérêt à surévaluer le nombre de leurs victimes pour diaboliser l’Irak, accroître la victimisation des chiites face aux sunnites et renforcer la « martyrologie » ambiante afin de justifier les mesures d’exception. C’est une transformation partout dans le monde mais, en réalité, ce n’est pas le cas en Perse (enfin, en Iran), car « Iran » est le nom que les Iraniens se sont toujours donné : Ērān, autrement dit Aryens ! Pour l'ensemble de la guerre les dégâts infligés aux habitations en Iran représentèrent un cout possible de 18 milliards de dollars[67]. Le forum a été conçu pour aborder le changement radical de la politique américaine envers l'Iran, celle de l'administration Obama à celle de l'administration Trump. nécessaire], livrant des BGM-71 « TOW » (versions terrestres et aériennes sur les AH-1J), des MIM-23 « Hawk » ainsi que des BL-755 (ces dernières étant déployées par les F-4E iraniens dans une grande partie des missions d'attaques), faisant des ventes d’armes la première recette d’exportation du pays[50]. En raison de cette diminution considérable, l'Irak dut recourir à l'aide de l’Arabie saoudite, entre autres. Espérant tirer profit de l'instabilité politique postrévolutionnaire régnant en Iran, l'Irak attaque sans avertissement formel en bombardant des bases aériennes iraniennes le 20 septembre 1980, pénétrant sur le territoire iranien deux jours plus tard. La seconde erreur du président irakien vient de sa surestimation de la puissance militaire de son pays. Un rapport d'experts de l'ONU envoyés par le secrétaire général de l'ONU pour enquêter en Iran sur les allégations d'utilisation d'armes chimiques daté du 8 mai 1987 confirme que des militaires et des civils de la région de Baneh ont été blessés au gaz moutarde. On le retrouve aujourd’hui, comme nous le signalions le 12 juillet 2012, puis d’une façon plus générale le 13 juillet 2012 : Moscou livrant plusieurs centaines de millions de dollars de matériel militaire à l'Iran directement ou en passant par des pays tiers dont des obusiers M1954 envoyés dès l'ouverture du conflit, un contingent de conseillers militaires vient en Iran, 3 000 hommes mi-1983, et 4 200 en mars 1987, une station d'écoute soviétique fut installée dans ce pays, des officiers iraniens entrèrent dans des écoles militaires et il y eut coopération entre les services de sécurité[57]. La France se contenta d'un bref communiqué condamnant « l'usage d'armes chimiques où que ce soit ». L’Iran estime officiellement à 300 milliards de dollars le prix de la reconstruction de son économie. Il est à noter que les chars T-72 irakiens qui furent livrés à partir de 1984 n'étaient pas aux standards de l'Armée rouge. L’auteure qui a vécu son enfance en Iran pendant la guerre, raconte ainsi un souvenir dans lequel le fils de la femme de ménage qui travaille au service de ses parents aurait reçu en classe une clé en plastique doré pour l’inciter à partir sur le front et gagner par la suite le paradis. Les États-Unis émettent plusieurs versions contradictoires au cours des jours suivants. En 1980, ses 300 avions sont majoritairement de fabrication soviétique (MiG, Sukhoi) qui se révéleront inefficaces face aux chasseurs iraniens (de fabrication américaine). Cependant, aucun traité de paix ne viendra formaliser ce retour, et ce n'est qu'en 2005 que Hoshyar Zebari (ministre des Affaires étrangères irakien) annonce que les deux pays envisagent un tel traité[7]. L'Irak adressa à ce pays une réponse négative : le 3 mai 1982, un avion Gulfstream II du gouvernement algérien avec quatorze personnes à bord dont le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Seddik Ben Yahia en route pour Téhéran fut abattu par un appareil MiG-25 de l'armée de l'air irakienne[52],[53],[54]. Oui et non. L'erreur initiale de Saddam Hussein est de croire que les importantes purges menées au sein des forces armées par Khomeini ont considérablement affaibli le potentiel militaire et défensif du pays (les forces armées iraniennes sont alors passées de 500 000 hommes en 1979 à 250 000 hommes à la veille de la guerre[5]). Le 17 mai 1987, deux missiles Exocet lancés par un Mirage F1[29] irakien touchèrent la frégate USS Stark tuant trente-sept marins et blessant vingt-et-un autres.
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