David Ignatus, chroniqueur au Washington Post, a récemment semé l'émoi en relayant les propos de Leon Panetta, secrétaire américain à la Défense; selon ce dernier, Israël pourrait attaquer l'Iran et son complexe nucléaire «en avril, en mai ou en juin». Ensuite, cette 'fuite en avant' tient aussi à l'isolement sans précédent d'Israël sur la question palestinienne: lors de sa visite en France, en juin, Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, avait exposé sa volonté de demander le statut d'Etat non-membre lors de la prochaine assemblée générale des Nations Unies, où il est presque assuré d'obtenir gain de cause, bénéficiant du soutien de la grande majorité des pays, et le droit de veto ne s'appliquant pas.". Le chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, a ainsi prévenu que son organisation transformerait en "enfer" la vie de "centaines de milliers" d'Israéliens en cas d'attaques contre ses bases ou contre les installations nucléaires iraniennes. I nterrogé il y a quelques jours pour savoir quand Israël attaquerait l’Iran, Patrick Clawson, chercheur au Washington Institute for Near East Policy (Winep), un think-tank lié au lobby pro-israélien, répondait : « Il y a deux ans » (cité par Scott Shane, « Adversaries of Iran Said to Be Stepping Up Covert Actions », The New York Times, 11 janvier). Les sources de diabolisation ne se tarissent pas lorsque les médias viennent à parler de l’Iran. "Depuis des années, Israël a la certitude que l'Iran développe l'arme nucléaire, or celle-ci représente une menace existentielle pour l'Etat hébreu", explique Charles Enderlin, correspondant à Jérusalem de France 2. On lui doit notamment "l'Enfant zigzag" et "Une femme fuyant l'annonce". Bluff ou menace sérieuse? Comme ce pays l'a fait depuis près de trois ans. C'est une question qui revient dès que le dossier nucléaire iranien réoccupe le devant de la scène : Israël a-t-il les moyens d'attaquer l'Iran, pays ? Un rapport récent affirme que le président Trump a l’intention de bombarder l’Iran, dans une énième attaque armée étasunienne contre un pays étranger. Israël peut-il frapper l'Iran sans l'appui des Etats-Unis? L'Iron Dome [bouclier anti-missile] n'est efficace que contre les missiles à courte portée, type roquettes, dont il détecte la chaleur. L'armée israélienne ne dispose pas non plus de bombes assez puissantes pour atteindre des installations souterraines. En outre, il n'y a pas de système d'abris massif. Soulignons qu’il n’y a pas pour l’instant de preuve formelle de l’implication de l’Iran et surtout que Téhéran a démenti une quelconque participation à ces attentats. Il est difficile de savoir si les Saoudiens, qui s’opposent à l’ingérence de l’Iran en Irak mais n’ont pas de relations diplomatiques avec Israël, ont autorisé les avions de combat israéliens à pénétrer leur espace aérien. French tech : pourquoi des géants français ne verront jamais ... Christophe Donner : Le contraire de Napoléon. The rational argument for an attack » (traduction française de Sylvestre Meininger sous le titre « Pourquoi Israël attaquera l’Iran ») a notamment écrit (extraits) : « Une attaque contre l’Iran est peut-être risquée, mais, dans le cadre de cette stratégie, elle prouverait qu’Israël […] "4,6 millions de masques" devraient, à terme, équiper les Israéliens, selon un porte-parole de l'armée, ce qui représenterait 58% de la population. L'Etat hébreu doit s'attendre à une riposte iranienne (Crédit: DR). Et dans la nouvelle réalité sanitaire, les risques sont difficiles à anticiper. Et dans la nouvelle réalité Par Philippe Brassac, directeur général de Crédit agricole SA, Charlie Hebdo : cinq ans après le choc, le procès, La commission européenne d'Ursula von der Leyen, Alexeï Navalny, opposant russe à Vladimir Poutine, Coronavirus : les entreprises s'adaptent face à la crise, Elon Musk, milliardaire mi-mégalomane, mi-visionnaire, Conflit entre l'Arabie saoudite et l'Iran, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a fait, vendredi, une nouvelle provocation dont il est coutumier, affirmant que le régime israélien, qualifié de "tumeur cancéreuse" , allait bientôt disparaître, l'emballement médiatique peut faire partie d'un "bluff visant à altérer le comportement des Iraniens ou des Occidentaux. Mais dans ce cas, Israël doit s’attendre à une riposte de Téhéran. Israël a-t-il repris ses opérations en Iran ? Attaquer l'Iran : plus facile à dire qu'à faire Moyen-Orient Iran Israël Asia Times Publié le 21/02/2012 - 17:38 Dessin d'Arend, Pays-Bas. Israël a-t-il les capacités militaires pour attaquer seul l'Iran ? Par Vincent Lamigeon le 10.11.2011 à 15h21 , mis à jour le 10.11.2011 à 15h21 Lecture 4 min. A l'approche de l'élection présidentielle américaine, Tel Aviv hausse le ton, à la recherche d'un soutien ferme de Washington. Israël a le droit de se défendre et se défendra certainement. L'embargo est respecté et il fonctionne. La menace semble prise au sérieux: le gouvernement a nommé un faucon au poste de ministre de la Défense civile, Avi Dichter (Kadima), ancien patron du Shin Beth, le service de renseignements intérieurs. Pourquoi il ne faut pas attaquer l’Iran 19 Jan 2012 David Swanson Bombe atomique, dictature, antisémitisme…. Marylin Maeso : Platon, reviens parmi nous ! Chaque point peut etre retourné , et il limite son analyse à une confrontation ISRAEL- IRAN, ce qui ne tient pas debout compte tenu des positions de la CHINE et de la Russie. Le Time estime que l'emballement médiatique peut faire partie d'un "bluff visant à altérer le comportement des Iraniens ou des Occidentaux. Une catastrophe naturelle dans cet État ne Cependant, plusieurs sondages montrent que l'option militaire prônée par le Premier ministre et son ministre de la Défense ne fait pas l'unanimité au sein de la population. Il est une des figures majeures de la littérature israélienne. La principale raison, selon de nombreux observateurs, reste la réaffirmation du soutien américain à Israël. "Les conséquences régionales seraient catastrophiques. … « L’Iran n’est pas un ennemi théorique », a déclaré Galant, rappelant que le régime de Téhéran avait menacé à plusieurs reprises de détruire Israël. Une erreur est survenue. Ce dernier point fait référence aux violentes réactions de l'entourage du Premier ministre qui ont suivi les déclarations du président Shimon Pérès selon qui l'Etat hébreu ne pouvait attaquer l'Iran sans les Etats-Unis. Alors qu' Israël a entamé son déconfinement il y a déjà deux semaines, le cabinet de sécurité se retrouve pour la première fois depuis plusieurs mois pour évoquer un sujet grave : … Il y a toujours une profusion de vraies et de fausses nouvelles dès qu'ils se préparent à une nouvelle agression. Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a, quant à lui démenti lundi des informations selon lesquelles il aurait d'ores et déjà décidé avec M. Netanyahu d'attaquer l'Iran. Le président des États-Unis ne met pas en doute l'implication de l'Iran dans les attaques qui ont touché l'Arabie Saoudite ce week-end, il se demande même s'il doit attaquer Téhéran. «Soyez certain que l'Iran réduira [alors] Haïfa et les centres [urbains] israéliens en poussière d'une façon telle qu'Israël serait rayé de la surface du globe», a-t-il ajouté. Shaul Mofaz, leader du parti Kadima -qui a récemment mis fin à une coalition avec le Likoud de Netanyahu, a ainsi demandé des "clarifications" sur l'intention de ce dernier d' "entraîner Israël en guerre contre l'Iran". C’est en tout cas l’une des explications des récents incidents sur plusieurs sites iraniens. Dans une lettre envoyée au Premier ministre, il accuse le gouvernement de "franchir les lignes rouges" en manquant de transparence, en intervenant "sans légitimité dans les affaires de politique intérieure des Etats-Unis ", et en " perdant le contrôle de [son] cabinet", rapporte le quotidien israélien Haaretz. Certes nous sommes contre les agissements hasardeuses de l’Iran dans la région. Si Obama refuse de s'engager plus fermement sur le dossier iranien, Tel Aviv appuiera son rival Mitt Romney.". Interrogé il y a quelques jours pour savoir quand Israël attaquerait l’Iran, Patrick Clawson, chercheur au Washington Institute for Near East Policy (Winep), un think-tank lié au lobby pro-israélien, répondait : « Il y a deux ans » (cité par Scott Shane, « Adversaries of Iran Said to Be Stepping Up Covert Actions », The New York Times, 11 janvier). Washington soutient, en dépit des pressions de Tel Aviv, la voie des négociations. il y a 7 ans | 71 vues Le 11h02 : Israël va-t-il attaquer l’Iran Le Soir Suivre il y a 7 ans | 71 vues Le gouvernement Netanyahu semble prêt à lancer une attaque sur les sites nucléaires iraniens. L'Iran va chercher à gagner du temps. Le gouvernement israélien, s'appuyant sur le soi-disant 'fossé entre sunnites et chiites', estime qu'il recevra le soutien d'une partie du monde arabo-musulman en cas de frappes contre l'Iran, explique Dominique Vidal. Autre signe, le président égyptien a annoncé qu'il se rendra au sommet des non-alignés à Téhéran, les 30 et 31 août prochains", ajoute le spécialiste. I nterrogé il y a quelques jours pour savoir quand Israël attaquerait l’Iran, Patrick Clawson, chercheur au Washington Institute for Near East Policy (Winep), un think-tank lié au lobby pro-israélien, répondait : « Il y a deux ans » (cité par Scott Shane, « Adversaries of Iran Said to Be Stepping Up Covert Actions », The New York Times, 11 janvier). Mais, malgré ses progrès technologiques, l’Iran reste un pays arriéré qui ploie sous les problèmes. La question qui se pose est la suivante : faut-il intervenir seul ou laisser agir les sanctions internationales, comme le voudraient les Etats-Unis ? "Dans son écrasante majorité, l'opinion publique reste contre une intervention sans le soutien des Etats-Unis", confirme pour sa part Charles Enderlin. Ces dernières semaines, certains pays du Golfe, dont l'Arabie saoudite, ont semblé montrer des signes d'ouverture (l'Iran a été convié mercredi dernier au sommet islamique de La Mecque, Ndlr). Israël a-t-il les capacités militaires pour attaquer seul l'Iran ? Les journaux israéliens annoncent régulièrement, grâce à des " fuites " (orchestrées) des services de sécurité, qu'Israël est sur le point de mener des frappes " préventives " contre les sites iraniens d'enrichissement en uranium. Temps de lecture: 17 min. Le marché est le suivant : si Téhéran accepte de limiter l'enrichissement de son uranium, et d'échanger son stock de combustible enrichi à 20%, les sanctions internationales seront allégées. Le Pentagone craint en effet que des frappes israéliennes n'embrasent la région. Près de 100 000 masques à gaz ont été distribués par l'armée à la population entre avril et juin. L'un d'eux, cité par Le Monde (€), évalue à 40% la proportion d'Israéliens qui "jugent nécessaire une attaque israélienne". L’essentiel de l’actualité décryptée au quotidien, Découvrez tous nos articles en illimité pour 1€ seulement, Yossi Cohen, l'espion devenu ennemi numéro 1 de Téhéran. (Crédit: GPO, Israeli Tsvika, image d'archives), Benyamin Netanyahou a tenté de rassurer les Israéliens en ce jour de troisième élection (Crédit: Amos Ben-Gershom/GPO), Des milliers de Falash Mura autorisés à s’installer en Israël, Netanyahou: « N’ayez pas peur du coronavirus ». Assurez-vous que la personne à laquelle vous offrez l’article concerné accepte de communiquer son adresse e-mail à L’Express. La presse israélienne, dans son ensemble, donne l'impression que des frappes israéliennes contre l'Iran sont imminentes. Interrogé il y a quelques jours pour savoir quand Israël attaquerait l’Iran, Patrick Clawson, chercheur au Washington Institute for Near East Policy (Winep), un think-tank lié au lobby pro-israélien, répondait : « Il y a deux ans » (cité
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