Malgré quelques succès face au roi Ferdinand, fils d’Alphonse V, Jean de Calabre apprend la défection de Louis XI durant l'hiver 1463. Le 20 août 1456, Charles VII le nomme son lieutenant-général à Gênes, qui s’était alors placé sous le protectorat de la France[7]. Jean II d'Anjou ou Jean de Calabre ou Jean de Catalogne, né à Nancy entre 1425 et 1427, mort à Barcelone en décembre 1470, marquis de Pont-à-Mousson, puis duc de Lorraine (1453), mais également de Calabre (1435) en tant qu’héritier présomptif du royaume de Naples, et de Gérone (1466) en tant qu’héritier présomptif de celui d'Aragon. Après la mort de Don Pedro du Portugal, (roi d'Aragon, choisi en 1463 par les Catalans), le 29 juin 1466, ces derniers offrent la couronne à René, qui descend des rois d’Aragon par sa mère Yolande.
Jean II d'Anjou ou Jean de Calabre ou Jean de Catalogne, né à Nancy entre 1425 et 1427, mort à Barcelone en décembre 1470, marquis de Pont-à-Mousson, puis duc de Lorraine , mais également de Calabre en tant qu’héritier présomptif du royaume de Naples, et de Gérone en tant qu’héritier présomptif de celui d'Aragon.
Le 22 février, La Signoria l'engage pour trois ans comme capitaine général de ses armées[4]. Désormais en paix, Florence "libère" son condottiere de ses obligations et Jean de Calabre quitte Florence dans l'été 1455[5]. In 1444, he married Marie de Bourbon (1428–1448),[2], daughter of Charles I, Duke of Bourbon and Agnes of Burgundy, Duchess of Bourbon (and granddaughter to John the Fearless, and niece to Philip the Good, both Dukes of Burgundy and enemies and allies to her father). He was the son of René of Anjou and Isabella, Duchess of Lorraine.
Dans le but de libérer son père René d'Anjou prisonnier à Dijon, Jean s'engagea à épouser Marie (1428 † 1448), fille du duc Charles Ier de Bourbon et d’Agnès de Bourgogne, la sœur de Philippe le Bon. Jean II d'Anjou ou Jean de Calabre ou Jean de Catalogne, né à Nancy entre 1425 et 1427, mort à Barcelone en décembre 1470, marquis de Pont-à-Mousson, puis duc de Lorraine (1453), mais également de Calabre (1435) en tant qu’héritier présomptif du royaume de Naples, et de Gérone (1466) en tant qu’héritier présomptif de celui d'Aragon. Malgré quelques succès face au roi Ferdinand, fils d’Alphonse V, Jean de Calabre apprend la défection de Louis XI durant l'hiver 1463. [2] He was married to Marie de Bourbon, daughter of Charles I, Duke of Bourbon. Elle devait mourir à Nancy en 1448 et être inhumée dans la collégiale Saint-Georges.
Après la mort de Don Pedro du Portugal, (roi d'Aragon, choisi en 1463 par les Catalans), le 29 juin 1466, ces derniers offrent la couronne à René, qui descend des rois d’Aragon par sa mère Yolande.
Elle devait mourir à Nancy en 1448 et être inhumée dans la collégiale Saint-Georges.
Jean reçoit à ce moment-là le titre de duc de Calabre réservé aux héritiers de la couronne napolitaine.
Dans le but de libérer son père René d'Anjou prisonnier à Dijon, Jean s'engagea à épouser Marie (1428 † 1448), fille du duc Charles Ier de Bourbon et d’Agnès de Bourgogne, la sœur de Philippe le Bon. Ancestors . De cette union, peut-être célébrée plus tard, vers 1444 ou 1445, naquirent plusieurs enfants : Jean II et son épouse Marie de Bourbon (XVIIe s.), Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous.
Blason duc Jean II de Lorraine 1466-1470.svg 600 × 660; 228 KB Blason représenté sur le tombeau de Marie Bourbon selon l'abbé Lionnois.svg 600 × 660; 74 KB Francesco laurana, medaglia di jean d'anjou, 1464.JPG 1,784 × 1,664; 1.17 MB Découragé, il gagne Florence en mars 1464, puis se résigne à rentrer en France durant l'été[9]. Dès le 1er juillet 1445, son père lui confie le gouvernement du duché de Lorraine qu’à la différence de ses autres terres, il tient du chef de sa femme et dont Jean est l’héritier. Un an plus tard, le duc Jean est contraint de repasser les Pyrénées pour représenter le roi de France, Louis XI, lors de la signature du traité d'Ancenis, qui fut une capitulation de François II de Bretagne face à la Couronne de France.
Cette campagne catalane s’achèva avec la mort brutale du duc, frappé d'une attaque d'apopléxie foudroyante, à Barcelone le 16 décembre 1470, au retour d’un pèlerinage à Notre-Dame de Montserrat. Le 22 février, La Signoria l'engage pour trois ans comme capitaine général de ses armées[4]. Le duc Jean repart en Catalogne au printemps 1469, entre dans Gérone, le 1er juin avec Dunois, lieutenant du roi de France, Louis XI. He claimed the crown of the Kingdom of Naples and the County of Provence as the Duke of Calabria 1480–1493 and as King of Naples and Jerusalem 1493–1508.
1605–1650 Paris) Artist: After Justus Sustermans (Flemish, Antwerp 1597–1681 Florence) Medium: Etching, second state.
Parti de Lyon le 8 mars 1467, il fait son entrée à Barcelone, le 31 août[10]. En 1453, à la mort de sa mère, il lui succède au duché de Lorraine, mais continue de seconder son père dans ses ambitions italiennes. Jean est le premier fils de René Ier d’Anjou, roi titulaire de Naples, duc de Bar, duc d’Anjou et de Lorraine (par mariage), comte de Provence et d’Isabelle de Lorraine, fille de Charles II, duc de Lorraine et de Marguerite de Bavière.
modifier - modifier le code - modifier Wikidata. the text in this section is copied from an article in Wikipedia. Dimensions: sheet: 12 5/8 x 10 3/8 in. C'est à cette occasion que se situe la première apparition publique de Lorenzo de Medici, le futur Laurent le Magnifique[3]. Alphonse V d'Aragon, qui s’était emparé du royaume de Naples aux dépens de René d’Anjou, meurt le 27 juin 1458 et une partie de l’aristocratie napolitaine fait appel au duc de Calabre.
As heir-apparent of Naples, he was styled the Duke of Calabria and spent most of his time engaging in plots for the Angevin recovery of Naples. Parti de Lyon le 8 mars 1467, il fait son entrée à Barcelone, le 31 août[10].
En 1465, il prend part à la Ligue du Bien public dirigée contre le roi de France Louis XI qui, au traité de Saint-Maur (29 octobre 1465) mettant un terme à cette fronde des grands féodaux, lui attribue les villes de Mouzon, Sainte-Menehould et Neufchâteau. Le 27 août 1466, René d'Anjou accepte la cause catalane. Contracté le 3 février 1437 (mais sans doute célébré bien plus tard vers 1444 ou 1445), ce mariage forcé devait permettre un rapprochement entre les deux duchés[1]. La princesse bourguignonne suivi donc Jean jusqu’en Provence, probablement vers 1437[2].